Parce que nous n’habitons pas à côté de la mer (hein ! oui oui c’est à toi que je parle), petite escapade au bord de l’eau... comme disait Rose hier soir en rentrant « c’était bien les vacances… !!! »
On embarque dans ma voiture de luxe le plus important le couteau à huîtres, le citron, les gamins, les sandwichs, Simone et nous vlà sur la route direction Trouville …
Au bout de 2h30, j’ai comme l’impression que je vais balancer quelqu’un par la fenêtre mais à ce moment là je ne sais lequel choisir :
Un gamin :
Parce qu’un gamin ça pose toujours la même question « c’est quand qu’on arrive » « quand est ce qu’on mange » et qu’on s’entend toujours répondre « bientôt » et lui pour faire son intéressant « mais pourquoi on voit pas la mer », Nan mais c’est vrai pourquoi on voit toujours pas la mer… Chier !
La personne côté passager :
Qui m’a dit quand je voulais prendre de l’essence, « mais non c’est bon on va bientôt sortir de l’autoroute, on en trouvera plus loin »… Ah ouai et où parce que là on n’en trouve pas, on va tomber en rade et que même dans mes pires cauchemars je ne veux infliger ça à mes petits que j’aime…
Simone :
Qui nous fait prendre des chemins super bizarres, j’ai sûrement omis de lui dire que ma super caisse de luxe n’était pas une automobile tout terrain, que si elle continue à aller dans le sens inverse des panneaux, je vais de ce pas m’acheter un plan papier de la France entière et lui faire subir l’humiliation du siècle…
3h plus tard, nous voilà enfin arriver à Trouville-Alliquerville…
Mais qu’est ce que c’est que cette ville… oh putain !… Simone avec son zèle habituel nous avait proposé plusieurs Trouville, et dans la précipitation générale du matin, le 1er Trouville était le bon !!!
Mika est vert de rage, moi je passe par toutes les couleurs, les gamins même pas qui l’ouvrent sinon le couteau à huître va nous servir à autres choses... Ambiance dans la caisse…
Bon nous voilà à la mer enfin, les galets c’est bien aussi, la mer était super belle, mika s’est baigné (c’est ça un rosbeef), le soleil était là, les falaises aussi et le couteau à huîtres n’a pas servis cette fois-ci (à ouvrir des huîtres, non plus !)
C’est joli Fécamp.
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